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Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire	Château de Lapoujade du XVIe siècle classé M.H en 2007. Demeure de notable ou château les Rochers, Monbeau à st-Georges. ROCHERS,Le domaine de Bonhomme, lieu-dit figurant sur la carte de Belleyme et sur le cadastre napoléonien, est acquit en 1882 par Edmond Tardieu, fils d'un riche négociant du Havre. L'ancienne maison est démolie en 1884, remplacée par un castel néogothique édifié en 1886, appelé "château des Rochers"; acquis par la commune de Saint-Vite en 1981. Il a été rénové entre 1990 et 1997. Les emprunts contractés pour l'achat et la réhabilitation du château viennent de s'éteindre. En 30 ans, 4 maires et 70 conseillers municipaux « se sont inquiétés de son devenir sans aboutir à une utilisation pérenne ». On se souvient des péripéties de 2002 et des complications pour récupérer un château devenu entre-temps hôtel-restaurant. D'autres pistes avaient été suivies : création d'un musée, d'une maison de retraite ou encore de locaux pour la CCFL. Plus près de nous, cet été, le dynamisme et l'implication des bénévoles de « Carrefour d'animations » ont permis d'ouvrir le château au public pendant trois mois. Le fustier château pigeonnier LAPOUJADE, en 1372, à la demande du duc d'Anjou, le château a été mis en défense par Raymond de la Pugeade, dans la seconde moitié du XVe siècle un escalier à vis est construit dans la cour. Au XVIe siècle la maison forte appartient alors à la famille La Goutte, seigneurs de La Poujade dont deux membres furent secrétaires à la cour. Elle est agrandie pendant la première moitié du XVIe siècle. Une galerie de style Renaissance est construite sur la cour, pour Jean de La Goutte, secrétaire du Roi. Le château a été inscrit au titre des M.H le 19 juin 2007. MONBEAU est construit au XVe siècle. Il s’agit sans doute d’un repaire établi sur un pech qui domine la vallée de Lagrane et au-delà la vallée du Lot. Au début du XVIe siècle, l’ensemble appartient à la famille de Lavayssières.
Architecture	château des Rochers; a été construit en 1886, La métairie est reconstruite ou remaniée en 1889, d'après la date gravée sur une arcade charretière. La demeure est implantée sur une terrasse calcaire dominant le cours du Lot. L'édifice est conçu comme un pastiche de l'architecture seigneuriale de la fin du Moyen-Age, avec ses 2 corps en L à toits pentus avec lucarnes articulés sur une tour circulaire élancée. Les murs sont enduits et les toitures en ardoise. L'étage est desservi par un escalier intérieur tournant à retour avec jour, dont la rampe de bois est richement sculptée. Maison de maître du XIXe siècle, plan en T, tour circulaire, porte décorée, fenêtres avec larmiers, escalier avec rampe sculptée, vitrail, parc devenu jardin public. L’entrée se fait par une tour dont la porte est décorée d’un galbe fleuronné. A l’intérieur, un splendide escalier sculpté ainsi que des vitraux signés des peintres verriers Etienne et Mouilleron. Le fustier corps de logis rectangulaire à trois niveaux entre deux tours carrées dit pigeonnier accolé à des dépendances. Lapoujade, petite maison-forte médiévale qui contrôlait un gué et un moulin, l'édifice est construit autour d'une cour intérieure accessible par le corps de passage d'une ancienne tour porte, le corps du logis primitif a conservé au premier étage, une salle avec sa cheminée gothique et une baie géminée. Les faveurs royales leur permirent de mettre l'édifice au goût du jour avec notamment dans la cour intérieure, une galerie ouverte reposant sur un portique. Monbeau le château est constitué d’une tour défensive. Celle-ci est, au cours des siècles, augmentée de divers corps de logis et dépendances permettant notamment à la population de vivre au contact des seigneurs.
Les habitants	Edmond Tardieu "
Divers	Château de Fustier grav 1, de Lapoujade 2, de Monbeau 3 et de St-Vite de 4 à 7.
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