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Code Département
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Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire
Deux château à saint-Sylvestre ce lui de st- Sylvestre et de Cadres, de Lalande (voir article) et de Rigoulières. CADRES, Antoine de Rayssac se fait édifier un habitat seigneurial dans la paroisse de Saint-Aignan, auquel il donne le nom de Cadrès. Au début du XVIe siècle, les Reyssac sont bien implantés dans les environs de Saint-Sylvestre : ils disposent en particulier de droits sur le passage du Lot, que François de Reyssac vend en 1515. L'ancien manoir, détenu au moins depuis la première moitié du XVIIe siècle et jusqu'à la fin de l'Ancien Régime par la famille d'Hébrard, n'est connu que par le plan cadastral de 1830 . Le manoir est totalement reconstruit vers 1885 pour le villeneuvois Léopold Mouysset, dont le monogramme figure sur un écu et sur les épis de faîtages ; le maître d'oeuvre de la reconstruction est inconnu, mais il pourrait s'agir de Lucien Dubarry de Lassalle, auteur de plusieurs réalisations néogothiques en Agenais. Un accès plus aisé est ménagé et une nouvelle dépendance est édifiée en remplacement des anciennes au début du XXe siècle, alors que le parc est planté d'essences variées. Le domaine est acquis dans l'Entre-deux-Guerres par Robert, comte de la Myre-Mory, député du Lot-et-Garonne, tué au combat en 1940 RIGOULIERES, le site est établi à la fin du XIIIe siècle, détenue par la famille de Paga. Antejeac de Lustrac en 1372 payé pour "emparer et fortifier" le lieu de Rigoulières, construits entre le XVe siècle et le XVIIe siècle pour la famille Delard de Rigoulières. Un escalier à vis a pris place dans la tour, peut-être au XVe siècle ; François Delard reçoit l'autorisation d'avoir une chapelle privée durant la deuxième moitié du XVIIe siècle. Une peinture monumentale sur une cheminée commémore l'échec des troupes du comte d'Harcourt, venues assiéger Villeneuve-sur-Lot en 1652.
Architecture
CADRES La butte occupée dès avant la 2e moitié du XVe siècle, époque où Antoine de Rayssac se fait édifier un habitat seigneurial dans la paroisse de Saint-Aignan, auquel il donne le nom de Cadrès, identique à celui de son repaire natal en Rouergue. Au début du XVIe siècle, les Reyssac sont bien implantés dans les environs de Saint-Sylvestre : ils disposent en particulier de droits sur le passage du Lot, que François de Reyssac vend en 1515. L'ancien manoir, détenu au moins depuis la première moitié du XVIIe siècle et jusqu'à la fin de l'Ancien Régime par la famille d'Hébrard, n'est connu que par le plan cadastral de 1830 : il se compose d'un ensemble de bâtiments attenants couronnant le sommet du "pech" dont il épouse les contours, abritant une cour à l'est. Un bâtiment d'exploitation figure à l'ouest, ainsi qu'un pigeonnier isolé sur piles à l'est, dépendances encore visibles sur une carte postale de la fin du XIXe ou du début du XXe siècle RIGOULIERES construits entre le XVe siècle et le XVIIe siècle. Un escalier à vis a pris place dans la tour, peut-être au XVe siècle. Rigoulières, la partie la plus ancienne du manoir est une tour quadrangulaire en brique, datable du XIVe siècle par sa baie géminée ornée de figures animales. La tour constitue comme d'autres sites castraux situés sur le bord du Lot, un enjeu stratégique lors des troubles liés à la guerre de Cent Ans : La maison-forte a été par la suite sertie dans un ensemble de corps de logis et de dépendances.
Les habitants
Cadres Antoine de Rayssac Famille de Paga "
Divers
Château de Cadrés grav de 1 à 5 et de la Rigoulière de 6 à 9 à Saint-Sylvestre
Liens