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Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire	Deux châteaux à Saint-Pourcain sur Sioule, de Briailles du XVIIe siècle et de Guénégauds du XVIIe siècle. BRIAILLES dépendait autrefois de la paroisse de Paray sous Briailles, et sa situation élevée laisse supposer que l'édifice actuel a été précédé d'une maison-forte. Il changea souvent de mains, à la fin de l'ancien régime, il appartenait à Messire Crétien, puis aux de Falaya, et à Marc Antoine Strada, marquis d'Arosemberg. Henri IV fit appel à eux et également à d'autres gentilhommes hollandais, pour assécher les marais de Limagne. A la veille de la Révolution, Marc Antoine vendit Briailles à Jean Jacques Pierre de Saincy. Au XIXe- XXe siècles le château de Briailles connut encore diverses mutations. Aujourd'hui chambres d'hôtes et glof. GUENEGAUDS, il est fait mention des Guénégauds dès 1300, date à laquelle Béatrix de Verneuil reconnaît tenir en fief la terre et seigneurie. Ce fief existait avant 1243, car un damoiseau du nom de Galvaynetus, reconnaît tenir en fief de noble homme des Archambaud de Bourbon tout ce qu'il a à Guinesgaux. Sur la tour nord-ouest sont sculptées les armes des constructeurs, Louis René Marie de La Cadre de Montpansin et son épouse née de Bard.Après 1682 Le château est vendu à une famine Parent dont une fille le fait passer par mariage a la famille de la Cadre, dans laquelle il reste jusqu'au XXe siècle.
Architecture	Saint-Pourcain sur Sioule, le beffroi du XIIIe siècle occupe l'une des tours de l'ancienne enceinte du quartier monastique. Les archères qui en percent la muraille peuvent être datées du XIIIe siècle. Cette tour existait en 1456. Il semble qu'au Moyen-Age l'une des tours d'enceinte du prieuré bénédictin ait été affectée à usage de guet pour les habitants. L'horloge y est sans doute installée en 1480, attestée avec certitude en 1487. Sous la Révolution ou l'Empire, l'horloge est installée dans le clocher de l'ancienne église prieurale devenue paroissiale. En 1838, il fut décidé de revenir à la situation antérieure. L'architecte Vollet fut chargé de reconstruire le campanile, dont les travaux se poursuivirent jusqu'en 1842. Brailles se dresse sur le flanc Est d'une colline, comportant un grand pigeonnier, une chapelle et un château d'eau, accompagnés de diverses maisons de vignerons, l'ensemble forme un repère visible depuis de nombreux points de la vallée de l'Allier. Il s'élève sur une terrasse à laquelle on y accède à l'est par un escalier muni d'une rampe à balustres. C'est un grand corps de logis rectangulaire qui date probablement du milieu du XVIIe siècle, comportant deux niveaux et couvert par un toit en croupe très élevé. Guénégauds, reconstruit au XIXe siècle, le château est accompagné d'un important domaine agricole, construction quadrangulaire dont la façade principale sud est flanquée d'une tour circulaire, à l'arrière, une autre tour circulaire avec un niveau en encorbellement sur faux mâchicoulis fait retour sur le pignon nord. Elle est également flanquée d'une tour ronde plus fine et plus haute. L'ensemble est couvert de toitures en ardoises, percées de lucarnes à hauts frontons triangulaires.
Les habitants	Famille de Messire Crétien Famille de la Cadre"
Divers	Château de Brailles, de Guénégauds, de Chantelle et autres à Saint-Pourçain sur Sioule
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