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Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire	Cinq châteaux à Saint-Georges de Luzençon; de Brouzes, de Cabenous du XVIe siècle, les ruines des comtes de Toulouse du XIIIe siècle, de Saint-Geniez-Bertrand du XIVe siècle et de Vergohac du XVIIIe siècle. Saint-Georges de Luzençon portait auparavant le nom de Saint-Georges de Valserena. Les révolutionnaires, voulant effacer tous les noms de Saints, l'appelèrent la Vallée Pure. Vallée dans laquelle coule le Cernon, de la ville on peut apercevoir, le château des comtes de Toulouse. BROUZES, famille de notables millavois connue depuis des siècles. Carbon : le nom de famille Carbon est connu comme nom de notaire à Creissels, au XVIIe siècle. Il est néanmoins vrai que nous sommes dans une région productrice de lignite et qu’il est possible que l’on ait affaire à une ancienne exploitation de charbon. ST-GENIEZ-BERTRAND, premier propriétaire la famille de Creissels. Prieuré et château qui appartient à l'évêque de Rodez, puis à celui de Vabres. En 1389, les routiers s'emparèrent du château. Celui-ci fut reconstruit aux XIVe et XVe siècles par les nobles Montjaux, Ricard, Garceval , par alliance aux Lastic Saint-Jal, toujours par alliance à François de Lavezou de Vezins. A la Révolution, Saint-Geniez fut appelé Lavencou. L'église du XVe siècle a été en partie refaite à la fin du siècle dernier. Des mines de charbon et de couperose furent exploitées à partir du XVe siècle par les Vezins (1517), puis les Tubières, seigneurs de Luzençon. CABANOUS, du comte Mathias du Bourg de Luzençon, château construit en 1563 par Charles de Tubières, seigneur d'Arbussel, gouverneur protestant de Saint-Rome de Tarn. Sa fille le vendit à Jacques Joly, ministre protestant. VERGONHAC, château des Valettes du XVIIIe siècle, qui aurait abrité quelques temps sous la Révolution, Marc-Antoine Charrier, chef des chouans de l'Aubrac. Pas d'information des autres châteaux.
Architecture	St-Geniez Bretrand, la bâtisse actuelle est la plus importante des seigneurs de Saint-Geniez, cette construction, est typique du château repaire, c’est-à-dire une maison seigneuriale fortifiée mais non entourée d’une enceinte propre et construite dans un site dépourvu de défense naturelle. Les bâtiments s’ordonnent autour de la cour centrale. En façade, la tour de gauche remplit la fonction symbolique de donjon, mâchicoulis avec reliefs trilobés et tourelles d'angles. C'est au XVe siècle qu'il faut dater le splendide corps de logis, long de 10 mètres en façade et profond de 23 mètres, qui forme l'aile du repaire; Le château Saint-Geniez Bertrand est un édifice militaire, dont la partie supérieure a été rasée, possédant des échauguettes, des mâchicoulis et des fenêtres à meneaux. Une petite cour intérieure possède une galerie avec voûtes d'arêtes. L'escalier, la porte et la cheminée remontent à la fin de la période gothique. La chapelle se trouve au sud. St-Georges Il trouve ses origines au XIe siècle, les ruines du château des comtes de Toulouse du XIIIe siècle (les remparts et la tour de défense) ainsi que la chapelle en témoignent. Au sommet du village, la vue à 360° rend stratégique ce lieu pour les seigneurs de l’époque. Brouzes ferme fortifiée sur le Larzac avec galeries et grandes voûtes, classée monument historique du XVIIe siècle. Vergonhac, forteresse corps de logis rectangulaire à cinq niveaux toits en croupes flanqué d'un pavillon d'entrée saillant toit à la Mansard flanqué d'une grande baie redondante avec balcon et donjon carré côté droit.
Les habitants	Famille Carbon Famille de Creissels "
Divers	Vestiges du château de st-Georges, château de Saint-Geniez Bertrand, de Brouzes et de Vergonhac
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