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Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire	Deux châteaux dans cet article Gd-Sérigny et Maubuisson. Grand SERQUIGNY, Sous Louis-Philippe, lui succéda le marquis de Groix, propriétaire des forges voisines et de plus de 2000 hectares de bois et terres, à qui l'on doit l'embranchement stupide de Serquigny avec un arrêt qui ne mène à rien: mais le marquis avait offert à la compagnie des chemins de fer, le terrain de la gare et des aiguillages pour s'y ménager une halte personnelle. A sa fille Blanche, comtesse Amédée d’Andigné, succéda sa petite-fille, Marie Joséphe, qui, sans enfant de son mariage avec le comte Adalbert de Vogûé, laissa Serquigny à sa soeur Louise, marquise de Keroüartz. On attribue la construction du corps de logis actuel à Pierre Pecqueult, Président Trésorier de France à Alençon, adjudicataire de la terre en 1681. Quant aux tours rcirculaires, ce serait les vestiges de la résidence de Charles d’Achey et de Jean, son fils, capitaine de Tancarville, de même que les pavillons isolés, placés au centre de la cour d’honneur. A l’intérieur du château, ont été conservés des boiseries, trumeaux et cheminées Louis XV, remontant aux modernisations opérées au milieu du XVIIe siècle. Dans l’ancienne basse-cour, au sud des douves, trône un beau colombier cylindrique en briques et silex. Léguée à Pierre Louiset Léonard de Malhortie, le domaine de Serquigny échut vers 1770 à Pierre René de la Roque, qui parvint à préserver le domaine des menées révolutionnaires.
Architecture	Gd-SERQUIGNY, le château actuel s’appuie sur les fondations d'un ouvrage féodal antérieur détruit, construit par la famille Mauvoisin, qui possédait la seigneurie depuis la fin du XIe siècle. A l’origine accessible par deux ponts-levis, le château doit son caractère monumental au parti original adopté pour sa façade. De part et d’autre, des chaînes de pierre encadrent les travées, séparées par d’étroits panneaux de briques, la façade arrière présente une ordonnance analogue, mais elle est encadrée de tours rondes en forte saillie, légèrement dissymétriques, relevées sur des fondations du Moyen Age ou du XVIe siècle MAUBUISSON, le lieutenant Romain Sarcunius fit construire une magnifique villa à grand frais sur l’ancien Malum buxetum (Maubuisson). Un aqueduc de deux kilomètres y amenait les eaux pour l’alimenter tandis que sur le haut de la colline deux feux allumés nuit et jour surveillaient les alentours. Du nom de ce chef Romain est venu celui de Sarquigny, puis Serquigny. Vers le début du XIe siècle, Maubuisson devient propriété de la Famille d’Erneville, un château féodal y est bâti en lieu et place de la villa romaine ravagée par les diverses hordes barbares et pour se protéger des invasions normandes. Le décès d'Adrien Joseph d’Erneville, le 3 août 1810, met fin à la présence de cette famille à Maubuisson après plus de Huit siècles. Le domaine féodal est vendu et M. Gattier, nouveau propriétaire, préfet de la Manche et y fit construire à la place le château actuel. Source : château de Maubuisson par A. Gardin. Chambres d'hôtes.
Les habitants	Serquigny; marquis de Groix Maubuisson ; Famille d’Erneville "
Divers	Grand-Sérquigny grav 1-2- Maubuisson. grav-5 GPS : 49° 06' 43,2" Nord, 0° 42' 40,4" Est
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