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Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire	ROSE-GROBOIS; Les bâtiments les plus anciens auraient été bâtis au XVIe siècle, à l'emplacement d'une maison forte qui avait appartenu aux Vienne, aux Bauffremont puis à Claude d'Eguilly, par Etienne Bernardon, conseiller au parlement de Dijon, qui possédait la terre en 1580. Dans leur prolongement, son petit-fils, Nicolas Perreney, président au parlement de Dijon, édifia vers 1700 le château Rose qui tire son nom de la couleur du crépi qui en recouvre les murs. Le dernier Perreney, Claude-Irénée, fit au milieu du XVIIIe siècle transformer les communs pour abriter la bibliothèque du procureur au parlement, Louis Quarré de Quintin, dont il avait hérité et qu'il continua d'enrichir jusqu'à sa mort survenue en 1840. Ni lui ni son père n'émigrèrent, aussi purent-ils conserver la totalité de leurs biens. Le château rose fut restauré en 1835, puis à la fin du XIXe siècle, Jeanne d'Harcourt, comtesse de La Tour du Pin, fit élever une aile en retour d'équerre d'esprit néo-gothique.
Architecture	Rose-Grobois à l'origine maison forte, ensemble de bâtiment dont la couleur du crépi est rose d'où le nom; corps de logis rectangulaire avec fronton plein cintre.
Les habitants	Nicolas Perreney "
Divers	Château de Grosbois dit le château rose
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