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Code Département		Photo
Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire	RENNES le CHÂTEAU, a notamment été rendue célèbre par l'un de ses curés ayant vécu dans la paroisse à la fin du XIXe siècle et au début du XXe, l'abbé Bérenger Saunière. Malgré l'absence de preuves, de nombreuses théories laissent entendre qu'il y aurait trouvé un trésor en 1885, sans que l'origine et la nature exactes en soient connues. Le château de RENNES date du XIIIe siècle. La plus grande partie de la bâtisse actuelle date du XVIe siècle et du XVIIe siècle. En 1293, Pierre II de Voisins va remettre en état les fortifications de Redhae. La famille de Voisins restera maître de ce qui deviendra Rennes-le-Château, au fil du temps, jusqu'en 1362, Henri de Trastamare, à la tête d'une bande de pillards surnommés les « routiers aragonais », ravage et pille le Razès, qu'ils prennent et détruisent ne laissant derrière eux que des ruines. C'est à cette date que l'antique ville disparaît. Sur le plateau, seules restent quelques bâtisses épargnées et la structure du château qui a résisté à la destruction. La Maison d'Hautpoul, le comté de Razès passe en 1422 à la maison d'Hautpoul, originaire d'Aussillon près de Mazamet, par le mariage de Pierre-Raymond d'Hautpoul avec Blanche de Castille, fille de Jeanne de Voisins, descendante de Pierre II de Voisins à qui le Razès avait été inféodé en 1230. François d'Hautpoul (1689-1753) releva le titre de marquis de Blanchefort tombé en désuétude, que lui apporta en dot son épouse Marie de Nègre d'Ables (1714-1781), dame de Niort, de Roquefeuil et de Blanchefort. Lors de la Révolution Française, le marquis Paul-François-Vincent de Fleury, héritier des Hautpoul-Blanchefort, après son mariage avec Anne-Gabrielle-Elisabeth d'Hautpoul-Blanchefort, dernier seigneur des lieux, émigra en Espagne avec ses trois enfants et son chapelain, l'abbé Antoine Bigou. Cependant, un de ses fils, Paul Urbain de Fleury, racheta son domaine, le 27 floréal an IV, lorsque ces propriétés furent vendues comme biens nationaux. Après de nombreuses vicissitudes, les biens et les propriétés de la famille d'Hautpoul furent vendus aux enchères le 7 juin 1889.
Architecture	La tour Magdala est beaucoup plus surprenante. Il s'agit d'une tour carrée de style néogothique. Elle semble former un angle d'un carré imaginaire dont l'orangerie occupe l'angle diamétralement oppose. L'abbé Saunière fait de cette tour son refuge où il peut en toute tranquillité lire ou s'occuper de sa collection de timbres. Ici, une fois de plus, on retrouve beaucoup de symboles, 22 créneaux, 22 marches, dallage correspondant au carré forme par les bâtiments, le village de Rennes le château surplombe les vallées de l'Aude et de la Sals, l'abbé Saunière a construit la tour Bibliothèque Magdela et la villa luxueuse Béthania Marie Denarnaud, la fidèle servante de l'abbé Saunière, vécut dans la villa Béthania à la suite du décès de l'abbé ; mais ne pouvant régler les taxes foncières de la propriété, elle fut contrainte de vendre la villa en viager. En 1946 Noël Corbu a racheté l'ancienne propriété de l'abbé Saunière et réglé toutes les dettes. En 1955, la villa Béthania est devenue un restaurant L'hôtel de la Tour, géré par Noël Corbu, dans le but d'attirer des clients qui pourraient s'intéresser aux nombreux mythes entourant la zone. Corbu vend sa propriété en 1965 à Henri Buthion qui y poursuit des fouilles, sans succès. La villa Béthania est décorée avec le symbolisme religieux du Sacré-Cœur sous la forme de vitraux et d'une grande statue de Jésus-Christ au-dessus de l'entrée.
Les habitants	Abbé Bérenger Saunière "
Divers	Tour Magdala, le château et la maison d'Hautpoul et de Béthania à Rennes le château.
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