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Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire	Deux châteaux dans cet article Riflets et Quilly. RIFLETS, les Bateste propriétaire du fief depuis le XIIIe siècle font rebâtir au XVe siècle qui passe par alliance aux Le Verrier , aux Sallet puis aux Moucel, marquis de Torcy, avant de devenir par héritage de sa belle-mère à la duchesse de FItz-James veuve du dernier marquis de Torcy. Au décès de la duchesse en 1862, le domaine de Quilly vendu par licitation, est acquis par Pauline Madeleine Ximenès comtesse de Helfenstein, fille naturelle du prince Paul de Wurtemberg, nièce du roi Guillaume Ier et par alliance de Jérôme Bonaparte ancien roi de Westphalie. Cette grande Dame est depuis 1843 l'épouse de Rodolphe-Auguste comte de Montessuy se délaisant du château madame de Montessuy fait rebâtir au XIXe siècle le château de Riflets, à son décès ses héritiers les Botherel et aujourd'hui à la famille de Cantel qui l'on transformé en chambres d'hôtes, classé aux M.H., le site témoigne d'un passé historique important. QUILLY, appartient à la famille de Bateste depuis la fin du XIVe siècle. Au cours des siècles, le fief de Quilly se transmet par alliance puis par ventes à différents propriétaires. Un parc clos de murs entoure les constructions au sud-ouest. Du reste, l’intérieur en a été négligé, ainsi que les habitations où les propriétaires ne résident plus depuis longtemps. Les bâtiments ont tous été transformés en ferme. Dans cette seconde moitié du XIXe siècle, la comtesse de Montessuy décide d’y construire une belle demeure, dominant la vallée de Bretteville. Le hameau de Quilly et le bois des Riffets sont classés parmi les sites en janvier 1942.
Architecture	RIFLETS, se compose d'un corps de logis central à trois niveaux dont un sous combles avec série de lucarnes, qu'accostent deux pavillons en légère saillie côté cour. La façade perron à balustrade. Le château des Riffets est invisible, masqué par la végétation de son parc qui occupe le flanc du vallon. Propriété privée, il accueille aujourd’hui des chambres d’hôtes et se remet lentement des dégâts provoqués par la tempête de 1999. QUILLY, le pavillon, le petit corps de logis en retour d'équerre et les deux tourelles sont classés au titre de monuments historiques depuis le 22 janvier 1922, les bâtiments du XVIIe siècle comprenant le bâtiment en équerre sur le pavillon et l'habitation de fermier avec une rampe d'escalier extérieur en fer forgé sont classés depuis le 31 mai 1927, les façades et toitures de tous les bâtiments, le petit cabinet orné de boiseries au premier étage du pavillon du fermier, le portail et les murs de clôture couronnés de balustres à l'entrée de la cour et le pressoir et le broyeur du XVIIe siècle dans les bâtiments sud-ouest sont classés depuis le 14 juin 1946. Propriété du comte du Chesne. Au début du XVIIe siècle, le logis est complété par un pressoir charretterie et un portail encadré d’un mur à balustrade. La ferme, construite au XVIIIe siècle, vient fermer la cour d’un ensemble déjà voué à l’agriculture. A l’ouest, la rue de la Dîme grimpe en pente raide en longeant prairies et champs cultivés. La rue derrière le parc marque la limite ouest des terres de Quilly.
Les habitants	Riflets; Pauline-Madeleine Ximenès Quilly famille de Bateste "
Divers	Château de Quilly grav-3 et de Rifflets grav-1 à Bretteville grav -2-3 gps 49° 02' 59" Nord, 0° 18' 56" Ouest
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