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Informations
Code Département
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Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire
deux châteaux à Pruines , celui de Pruines et celui de Combettes du XVIIIe siècle pas d'informations historiques pour ce dernier. PRUINES, au XIIIe siècle existé un fort ou château tenu par une famille du nom de la terre de Pruines en 1395 Aymeric de Mercato acheta le fief aux Pruines, il le garde jusqu'au XVe siècle, puis à Guillaume de Solages en 1402 seigneur de Pruines passa par alliance à la famille d’Arjac jusqu'en 1506 , date de passage dans la famille de Marcenac qui l’engage en 1543 auprès de Jean Imbert Dardenne fils du maire de Villefranche-de-Rouergue, receveur général des rentes de Toulouse qui l'habitat dans l'attente de la construction de son château de Graves et en 1567, le château est vendu au chanoine de Rodez Antoine de Frédault jusqu'en 1573, le vicomte de Gourdon s'en empare avec sa troupes de protestants qui le dégrade. La propriété passe à Yzarn de Freissinet, aux Fleury et retour aux Marcenac, puis acquis en 1620 par François de Bancalis baron dont les héritiers le conserveront jusqu’au début du XIXe siècle. Au début du XXe siècle, il est vendu à la municipalité qui y installe la mairie et l’école publique de 1917 à 1954. En 1974, revendu à monsieur Frank Gineste. Il a été depuis largement rénové et restauré. Il a hébergé une auberge de jeunesse, des stages de sculpture, de tissage et de fonderie d’art et plus récemment une collection de 600 poteries populaires du Sud Ouest de la France du XVIIe au XIXe siècle.
Architecture
Le château de Pruines avec sa belle façade du XVIIe siècle et sa tour du XVe siècle, il est bâti en grès rose local et est constitué d'un bâtiment principal, s'ouvrant sur un grand escalier Louis XIV conserve de belles cuisines voûtées à cheminée monumentale et des plafonds du XVIIe siècle une tour et l’écurie. Au XVIe siècle des travaux d’aménagement intérieurs furent entrepris. Au XVIIe siècle les Bancalis font détruire la totalité du bâtiment existant à l'exception du donjon et font construire le corps de logis actuel de plan rectangulaire de quatre niveaux dont un de comble, les façades sont percées de grandes baies à petits carreaux et sa porte d'entrée est surmontée d'un fronton cintré, des lucarnes passantes, sommées d'un fronton se détachent du toit à la Mansart. Les travaux restèrent inachevés par la mort brutale de Jean de Bancalis assassiné. Un plafond, datant du XVIIe siècle, possède un décor peint et sculpté très coloré, actuellement visible dans une pièce du premier étage de la tour, curiosité rare en Rouergue.
Les habitants
Famille d’Arjac "
Divers
Forteresse de la Pruine et château de Combettes
Liens