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Informations
Code Département
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Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire
PARC, le premier propriétaire connu du château du Parc est Jean, panetier du comte de Mâcon en 1231. Puis il a eu de multiples propriétaires tels que la famille de Chevrier en 1366 qui par alliance est passé à la famille de Busseul qui l'a conservé pendant un siècle. Dans la première moitié du XVIe siècle, Françoise Mareschal, fille des précédents, leur succède la famille Mitte-Miolans de Chevrières, la précédente épouse en 1550 Jean Mitte-Miolans de Chevrières, issu d'une famille du Forez. À partir du milieu du XVIIe siècle en 1659 Pierre Perrachon, seigneur de Senozan, personnage richissime, succède aux Mitte-Miolans, il abandonne le château à des régisseurs, ce que feront aussi ses successeurs. En 1778 Madeleine Olivier de Senozan, fille de Jean-François Olivier de Senozan, marquis de Viriville, épouse en 1778 Archambaud-Joseph, comte de Talleyrand-Périgord, frère du célèbre Talleyrand. Au milieu du XIXe siècle la propriété passe à la famille de Lacretelle et en 1917 la propriété passe à François Monterrat. En 1948 propriété de René Monterrat et Mélanie Rollet. En 1969 propriété de Suzanne Renoud-Grappin. Dans la commune le château de Lapalus.
Architecture
Parc, le château est construit au XIVe siècle donjon dont les murs de trois mètres d'épaisseur à la base flanqué de deux tourelles miniatures, les murailles extérieures, en partie conservées, décrivent un polygone irrégulier, épaisses d'un mètre et hautes de six à sept mètres, elles étaient, jusqu'en 1835, entourées de larges fossés d'eau vive que franchissait un pont-levis. À l'intérieur de cette enceinte, à laquelle sont adossés divers communs, s'élève un donjon circulaire de 18 mètres de hauteur contre lequel s'appuie, au nord, l'ancien corps de logis, lui-même flanqué d'une petite tour ronde, le donjon comprend un rez-de-chaussée voûté dépourvu de toute ouverture, un étage voûté d'arêtes occupé par une chapelle éclairée par trois étroites baies à arc en lancette et un second étage relié au précédent par un escalier pratiqué dans l'épaisseur du mur, que ceinture à l'extérieur une rangée de consoles de pierre destinées à soutenir des hourds auxquels donnaient accès trois ouvertures circulaires, le logis comporte lui-même un rez-de-chaussée pourvu d'une vaste cheminée et un étage avec plafond à poutres apparentes à la française, qu'une petite porte met en communication avec la chapelle. Les divers bâtiments, y compris le donjon, sont couverts de toits plats en tuiles creuses.
Les habitants
Famille de Busseul "
Divers
Maison forte de Parc-Sancé et le château de Vallière
Liens