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Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire	Cinq châteaux à Onzain celui d'Onzain, les Douves, Seillac,Tertres et Vallandran. ONZAIN, de 1358 à 1380, les anglais occupent la région, dont la « forteresse d'Onzain » dès octobre 1358, et aussi Bury dont il ne reste que des ruines en 1362. C'est cette forteresse qu'apporte en dot Jeanne Guénand, descendante de Guy de Bury, à son Epoux, Hélion de Neillac en 1380. Celui-ci est un important personnage de la Cour des rois Charles V puis Charles VI, et il entreprend, avec son frère Guillaume, de reconstruire le château en 1381, La fille d'Hélion, Jeanne, mariée en 1402 à Guillaume d'Argenton, hérite du château, que ses descendants garderont durant tout le XVe siècle. En 1498, Jeanne de Chambes, autre descendante de Jeanne de Neillac, rachète à ses cousins Renée de la Haie et Joachim de Montespedon le château et la totalité des domaines. En 1563, le château d'Onzain sert de prison pour le prince de Condé, fait prisonnier à Dreux, qui essaie de s'en évader, est repris et conduit à Amboise. Le château a été confisqué en 1562 par Catherine de Médicis. Le château est vendu par les héritiers de la Rochefoucault au marquis de Vibraye puis, en 1642, à Charles de Rostaing, arrière petit-fils de Florimond Robertet, qui avait fait construire le château de Bury vers 1515. En 1720, elle fait don de sa seigneurie, de son château, et de ses dettes, au Comte de Varax, son neveu. Celui-ci et son fils, Jacques-Marie de Perrachon, reçoivent Voltaire à Onzain, Ambroise-Julien-Clément de Feillet, conseiller au parlement de Paris achète le château en 1753, puis le vend en 1760 à Michel-Jean-Hugues de Péan, gouverneur général du Québec jusqu'à 1759, la propriété a été saisie en 1816, vendue en lots. Le château est démoli de 1823 à 1826 et les matériaux sont également vendus.
Architecture	Les châteaux d'ONZAIN et HAUTES LOIRE, de plan rectangulaire,le corps de logis central à deux niveaux,toits en croupes avec lucarnes sur combles, des pavillons carrés aux extrémités accolés par deux pavillons à un étage. Les DOUVES, il subsiste la plate-forme castrale de 2000m entourée de ses douves en eau. Un jardin bordée de murs, situé entre les douves et le ruisseau du Cissereau, complètent cet ensemble au charme indescriptible au centre de cette plarte forme édifice de plan rectangulaire à deux niveaux, le château est reconstruit à la fin du XIVe siècle par les frères Hélion et Guillaume de Neillac, proches des rois Charles V et VI. Il reste de cette campagne une partie de la grosse tour maîtresse bâtie au nord de la propriété. Anne de Polignac et son époux Francois II de la Rochefoucault qui mènent de front la reconstruction d’Onzain et de La Rochefoucault (Charentes) durant le deuxième quart du XVIe siècle. Ils ne conservent du château d’Hélion de Neillac que la grosse tour maîtresse, la famille Perrachon (1720-1753). Au nord d'Ouzain le château du TERTRE du XIXe siècle, corps de logis central à deux niveaux et lucarnes sur comble toit en croupe, accolé sur les flanc de pavillon d'une travée à niveau inférieur Bernard et Christine Valois dirigent un hôtel de charme. Au nord d'Ouzain le château de SEILLAC du XVIIIe siècle gîte de vacances et du TERTRES à Onzain demeure de la fin du XIXe siècle transformé en hôtel restaurant par Christine et Bernard Valois.
Les habitants	Onzain; marquis de Vibraye Douves; Famille de Neillac Tertre; Famille de Valois "
Divers	à Onzain celui d'Onzain grav-1, les Douves grav-6, Seillac grav-2 -3 ,Tertres grav-4 et Vallandran grav-5. Oinzain 47° 30' 04" nord, 1° 10' 29" Est
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