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Code Département		Photo
Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire	MERVILLE, en 1734, le marquis Henri-Auguste de Chalvet-Rochemonteix, grand sénéchal de Toulouse et d'Albigeois, hérite de son frère la seigneurie acquise du marquis d'Escoda de Boisse, et décide d'y édifier une somptueuse bâtisse de briques roses, dont la construction débute en 1743. Véritable homme des Lumières, il dicte lui-même les plans de construction à l'architecte toulousain Maduron. Les travaux durent un peu plus de quinze ans. À la mort du marquis de Chalvet, en 1772, le château passe à son fils André-Antoine, qui, bien que jeté en prison sous la Terreur, parvient à garder sa tête mais aussi son château ! Par chance, Merville conserve son ameublement et son décor. La petite-fille d'André-Antoine fait entrer Merville dans la famille de Fite-Pelleport, leur fille la comtesse de Fite-Pilleport épouse du comte de Villèle fils de l'ancien président du conseil de Louis XIII, puis la maison passe par héritage au marquis de Beaumont du Repaire dont descendent les actuels propriétaires. Château de FOURCLINS à Merville utilisé en Sci immobilières et autres.
Architecture	Le château de 1743 à 1759 construit en briques. le style n’avait rien des châteaux du Moyen-Age, il n’y avait ni tour ni créneaux. Il est composé de trois corps de logis disposés en U. Le corps central, qui mesure 50 mètres de long, et fait face à l’Est possède un avant-corps central en hémicycle, surmonté d'un fronton triangulaire. Il donne sur une terrasse qui surplombe le parc dessiné par le Nôtre. Les deux ailes qui mesurent chacune 18 mètres se font face et l'aile sud présente un fronton curviligne. Une terrasse de 92 mètres de long sur 28 de large entoure le château, un grand parc de 40 hectares s’étend autour . Agrément indispensable de toute gentilhommière de qualité.Les pièces d'apparat du corps central ont été conçues en enfilade autour d’un grand salon qui s’avance en saillie sur le jardin. Les murs des vastes salles du rez-de-chaussée sont recouverts de tapisseries de Flandres datant du règne de François Ier. Le salon chinois doit son nom aux dix-huit grands panneaux de bois peints à l'huile qui ornent parois et dessus de porte. Ils furent réalisés durant l'année 1754 par le peintre et architecte toulousain Gilles Pin (1720-1804). Ces décors dans le goût des chinoiseries de pilleurs s'inspirent de gravures parisiennes exécutées d'après des dessins de François Boucher.
Les habitants	Marquis Henri-Auguste de Chalvet-Rochemonteix "
Divers	Château de Merville et Fourclins
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