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Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire
LE PONT DU DIABLE, pendant très longtemps, les origines de ce pont sont tombées dans l'oubli, au point que la légende a pris le dessus. La signalisation routière mentionnait « Pont du Diable au XIIIe siècle ». décidée par Roger-Bernard, comte de Foix, qui chargea le seigneur de Garrabet de rétablir des passages sur la rivière ; Garrabet s’adressa pour cela à un certain Peyronnet, qui possédait des notions d’architecture. Le pont aurait été fortifié ultérieurement par Gaston Phébus. Le pont était décrit comme un ouvrage fortifié médiéval, Il ne se situe sur aucun chemin d'importance. Les ruines de la bâtisse sur l'un de ses côtés étaient généralement présentées comme restes d’ouvrages défensifs, en corps de garde, etc. Le pont est soutenu par quatre arches, deux bien visibles sur le cours de l'Ariège, et deux autres comprises dans la bâtisse accolée. En réalité, le pont a été construit en 1836 par un entrepreneur local, Adolphe Garrigou, pour son beau-frère, le polytechnicien Léo Lamarque (30 août 1808-Alger, 29 juillet 1849). Lamarque avait travaillé avec Jean-Victor Poncelet, le « pape de l’hydraulique », et il expérimenta en ce lieu une roue hydraulique de son invention : une roue fixée à l’extrémité d’un long axe, qui plongeait directement dans le tourbillon de la rivière entre les deux arches principales du pont ; ce qui explique l’absence de canal d’amenée et des installations traditionnelles d’un moulin.
Architecture
Entre Foix et Tarascon sur Ariège, pour enjamber les eaux tumultueuses de la rivière Ariège la légende prétend que l'architecte passa un pacte avec satan, lucifer recevrait en échange l'âme du premier vivant qui le traverserait. Le "diable" à construit le pont sans avoir l'âme du premier passant "humain" car les paysans firent traverser un animal à la queue duquel ils avaient attaché une clochette pour le faire courir plus vite, le curé averti du stratagème béni aussitôt le pont. Ce pont fortifié à deux arcades date du XIIIe siècle. Rive gauche, de chaque cotés du pont, il reste les ruines d'un habitat réservé au gardien ou au corps de garde.
Les habitants
seigneur de Gabarret "
Divers
Le pont du diable à Mercus-Garrabet
Liens