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Informations
Code Département
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Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire
Trois châteaux à Laroquebrou, celui de la Roque du XIIIe siècle et de Messac du XVI-XIXe siècle LAROQUE, Astorg II, viguier d'Orlhac en Viadène était marié avec Marguerite de Montal, fille du viguier d'Arpajon auquel elle donne au moins deux fils: Astorg III d'Orlhac, seigneur de Conros, sans postérité. Passa à Durand Ier de Montal, marié à Dia de Carbonières, qui lui donne quatre enfants : Astorg IV marié à Marguerite de Malemort. Durand II de Montal qui épouse Guillemine de Laroquebrou Raymond, qui fait hommage en 1251 pour Montal à Hugues IV de Rodez, comme vicomte de Carlat Déodat. Durand II de Montal devient seigneur de Laroquebrou ; Durand III de Montal, qui accorde en 1281 une charte de franchise aux habitants de Laroquebrou. Passa par indivis à N. de Montai, son cousin. Rose de Montai, baronne de La Roquebrou, héritière de sa branche, transmit la terre aussi par alliance, en 1593, à François de Pérusse d'Escars, baron de Merville, sénéchal de Guienne, en faveur duquel la baronnie de La Roquebrou fut érigée en marquisat. Habité à partir du XVIIe siècle par la famille de La Roque, des seigneurs de La Moissétie et de Réquiran, connue sous le nom de La Roque-Montal. Jacques de La Roque était seigneur de Montal en 1737. Leurs descendants la possédaient encore en 1780. MESSAC, fief des haubert, dépendant des abbés d'Aurillac, puis des seigneurs de Conros. Ses premiers possesseurs connus sont une famille de chevaliers, seigneurs du lieu, attestée au XIIIe siècle. Siège d'une justice locale jusqu'au début du XVIIe siècle. Sa ferme possédait une montagne à Girgols avec un Buron. Possédé par plusieurs générations de chevaliers, puis par succession aux familles du Crozet de Bellestat, et de La Garde de Saignes. Vendu comme bien national à la Révolution, est ensuite aux familles Prax et Maitrier.
Architecture
le château actuel de Laroquebrou ne correspond pas au site castral d'origine qui se trouvait sur un piton schisteux étroit et haut de 30 mètres, inaccessible de tous côtés et placé dans le bourg actuel. Le sommet est couronné par une plate-forme aménagée d'environ 50 mères où une tour de plan carré existait jusqu'en 1653, date où elle fut en partie abattue. Le premier étage de cette tour conservait une chapelle dédiée à la vierge qui est mentionnée au XIVe siècle. Les tours rondes, au nombre de quatre, étaient crénelées. L'une d'elles enfermait l'escalier. Une cinquième tour, aujourd'hui très en ruine tenait à un mur très élevé, mais était séparée des autres constructions. Une poterne était défendue par un fossé. Elle était surmontée par un mâchicoulis. Sous la terrasse existait un souterrain servant, en temps de siège à communiquer avec la ville. Messac; Gentilhommière composée de deux ailes articulées en équerre sur un escalier en tourelle. Haut de deux étages sur rez-de-chaussée, il remonte à la fin du XVe siècle et avait à l'origine un troisième étage déposé au cours du XVIIIe siècle. Deux cheminées par étage. L'édifice est représentatif de l'architecture civile dans le Cantal à la fin du Moyen-Age.
Les habitants
Famille de Montal "
Divers
Château de la Roque et de Messac à Laroquebrou
Liens