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Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire	A Ingrandes le château et le Manoir de la Croix Blanches. INGRANDES, au XVIe siècle la seigneurie été la possession d'Olivier de la Haye qui vendit en 1548 à Guillaume de Foucault donné ensuite par Henri IV à Antoine d'Aloigny, en 1652 Louis le fils d'Antoine en est le seigneur les biens seront transmis à son fils Antoine, en 1687 le frère de celui-ci Henri-Louis. L'unique héritière Marie-Henriette d'Aloigny, citée par Saint-Simon comme étant une intrigante, fut exilée de la cour de Versailles et vécut au château d'Ingrandes où elle fit construire le logis XVIIe siècle et en 1714, le domaine est saisie et acquis par Mathieu Pinsonneau seigneurs de Coulanges, trois ans après vend à Marie-Madeleine de la Vieuville veuve de César de Beaudéan comte de Parabère en 1738 cède le domaine à Claude Dupin conseiller et secrétaire du roi, la fille de Claude Dupin épousera un Vallet de Villeneuve, le fermier général Claude Dupin, grand-père de George Sand (née Aurore Dupin), devint, en 1739, acquéreur de l'ensemble des châteaux du Marquisat du Blanc. Les circonstances de la destruction du corps de logis sont mal connues : celle-ci pourrait remonter à la fin du XVIIIe siècle. Le château d'Ingrandes resta la propriété des descendants Dupin, le baron de Villeneuve jusqu'au début de ce siècle. En 1923, il devint alors la propriété de la famille Combescure qui l'exploita en tant que ferme jusque dans les années 1970. Alain et Jacqueline Drouart font l'acquisition des ruines du château féodal d'Ingrandes en 1982, ont aménagés des chambres d'hôtes
Architecture	INGRANDES, il reste une partie de l'enceinte avec ses courtines et ses tours, le donjon et l'ancienne tour d'escalier inscrits M.H. le 1er octobre 1987 ainsi que la partie ancienne du logis datée du XVe siècle. Le logis médiéval est complété par un logis construit au XVIIe siècle et rehaussé au XIXe siècle. Le château fut ensuite reconstruit aux XIVe siècle et XVe siècle. Les vestiges nous restent aujourd'hui. La charpente de la tour à hourds a été datée de 1465. Les tours en poivrières du donjon et de l'enceinte furent semble-t-il tronquées en application des décrets royaux de 1626 ordonnant la destruction de l'appareil militaire des places-fortes du royaume. Un dossier de demande de protection est déposé. À ce jour, le logis du XVe siècle est totalement restauré, le donjon est sauvé et les travaux se poursuivent. En 2005, un hourd a été reconstruit sur une des tours d'enceinte. Le 17 avril 2008, une nouvelle toiture est posée sur la tour escalier. CROIX-BLANCHE , est une demeure de style poitevin, flanqué d’une tour et d’un porche fortifié. A la fin du XIXe siècle, une galerie à colonnade a été édifiée sur la façade et le côté sud, de type andalou mauresque avec sculpture sur les chapiteaux de colonnes. Le nouveau bâti donne lieu à une multiplicité de formes au niveau des couvertures. Le toit à croupes du bâtiment originel est entouré d'appentis, de toits en pavillon, de toits coniques et de toits polygonaux. Entre le parc et le château se trouvent de très belles dépendances présentant un caractère original.
Les habitants	Famille d'Olivier de la Haye "
Divers	Ingrandes; 46° 35' 50" Nord et 0° 57' 45" Est grav 1 à 4; le château de la Croix Blanches grav 5-6
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