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Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire	Quatre châteaux à Gignac le château Capion, des Laurès du XVIIe siècle, la maison de Navas du XVIIe siècle et celui de St-Jean d'Aumières et à quelques kilomètres au Nord à Saint-Jean de Fos le château de Valloubière, viticole chambres d'hôtes. GIGNAC, village fortifié remparts et tours, la Tour de l'Horloge dernier vestige de défense médiévale de la ville. Lors de la Révolution Française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société des amis de la constitution » en décembre 1791. Après la chute de la monarchie, elle change de nom pour « société des sans-culottes », puis « société républicaine et régénérée ». CHATEAU CAPION, la construction initiale du château au XVIe siècle. Mais les premières preuves concrètes retrouvées datent de l’an 1873, lorsque le domaine de Capion (ou Capiou pour les anciens) est acquis par la famille Keittinger. Monsieur Keittinger restaura le château dans les années 1880 . Le domaine, toujours d’après les documents retrouvés, fut revendu en 1891. Il connut différents propriétaires jusqu’en 1960, année où la famille Salasc en fit l’acquisition, domiciliée à Gignac, elle est spécialisée dans le secteur d'activité de la culture de la vigne et chambres d'hôtes. En 1996, la famille Buhrer, vigneron sud-africain rachète la propriété. La passion de la nouvelle équipe de Capion. Le Château LAURES du XVIIe siècle, hôtel de Laurès, qui appartenait à la famille de Laurès, Claude-Daniel de Laurès (1701-1776), conseiller à la cour des comptes, aides et finances de Montpellier. Antoine de Laurès (1708-1779), écrivain, ami de Voltaire, traducteur de la Pharsale de Lucain, et auteur notamment de la fête de Cythère, opéra en un acte créé le 19 novembre 1753 au château de Berny. Il habitait le château de Gignac. Actuellement l'office du tourisme. la maison de NAVAS du XVIIe siècle, château Saint-Jean d'Aumières viticole Manuela et Paul Tori font le pari de racheter le château en 2001.
Architecture	Gignac, vestige médiéval, visible à des kilomètres depuis la plaine, "la Tour de Gignac" est l’un des éléments d’architecture militaire des plus importants du canton, sa construction remonterait au XIe siècle. Située sur un promontoire abrupt dominant le site, elle fit partie d’un ensemble fortifié, occupé par une citadelle protestante au XVIe siècle. La "Tour Sarrasine" ou le donjon, la tour médiévale de Gignac est implantée sur le point culminant de la vieille ville, c'est une tour quadrangulaire haute de 12 mètres, longtemps désaffectée, la tour a été utilisée comme réservoir, lors de la mise en service d'adduction d'eau en 1861. Beffroi communal surmonté d'un campanile de fer abritant une cloche du milieu du XVIIIe siècle réalisée par le maître fondeur montpelliérain Jean Poutingon. Le centre historique est un aménagement du XIIIe siècle, en contrebas d’un Castrum connu depuis 1094 et dont il ne subsiste qu’une tour carrée. CAPION; corps de logis rectangulaire à trois niveaux, escalier en fer à cheval sur les deux façades donnant au premier étage sur un pavillon saillant avec fronton dépassant le toit par une ouverture de chiens assis, une tour carrée à mâchicoulis et crénelée dépassant l'ensemble et échauguette à toit pointu sur l'angle du bâtiment.
Les habitants	Famille Keittinger "
Divers	Gignac le château Capion, des Laurès du XVIIe siècle, la maison de Navas du XVIIe siècle, celui de St-Jean d'Aumières à Saint-Jean de Fos le château de Valloubière.
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