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Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire
trois châteaux dans cet article Douai, Aubry et Péage . DOUAI la première mention d'un donjon en pierre apparaît dans les textes en 1187 cité comme le château du roi et du comte désigné comme Neuve Tour , dont il subsiste dans un jardin du quai Daint-Maurand, les vestiges d'un donjon roman connu sous le nom de Vieille Tour. Agrandi en 1273, son emplacement est occupé par la bibliothèque, le conservatoire et l'ancienne fonderie de canons. Un second château selon Charles-Laurent Salch, Douai possédait une seconde forteresse, un donjon sur motte du XIIe siècle, remanié au XIVe siècle par les comtes de Flandre, située près de la collégiale Saint-Amé qui fut mis au jour lors de fouilles au XXe siècle. AUBRY offre un cadre intime et romantique pour le jour de votre mariage, avec un intérieur contemporains, des chambres confortables, c'est un véritable chez-soi pour accueillir et divertir vos invités. PEAGE, les premiers documents sur Frais-Marais remontent au XIIIe siècle. C’est à cette époque que sont définies officiellement, par l’autorité du comte de Flandres, Thomas, et de Jeanne, son épouse, les limites de la banlieue douaisienne, ces campagnes qui entouraient la ville fortifiée et lui fournissaient une grande partie de ses subsistances. Au XVIe siècle, la ville entreprend des travaux destinés à assécher quelques parties du marais. Des habitants venus de la ville construisent dès cette époque des maisons de campagne au frais marais. On peut encore voir aujourd’hui certaines de ces vastes demeures, à l’image du château du Péage qui a été construit au XVIIIe siècle pour un bourgeois de Douai afin de lui servir de maison de plaisance, l'œuvre réalisée en brique comprend deux niveaux et ses deux bâtiments principaux sont disposés en équerre, une annexe plus basse prolonge l'une des branches de celle-ci, une tourelle coiffée d'une sorte de dôme est placée à l'extrémité de l'autre.
Architecture
DOUAI, la première résidence comtale comprenait une maison à étages de plus de 8 mètres de long sur 7 mètres de large, bâtie sur cave. Une nouvelle résidence emmottée sur 1,8 mètre de hauteur sur trois de ses côtés et ceinte d'un fossé fut construite par Lothaire. Arnoul II la transforme. Il comble les bâtiments existants et les emmotte pour créer une motte tronconique, au sommet de laquelle il construit un petit donjon en bois carré de 5 mètres de côté. La tour de bois sera remplacée par un donjon en pierre de plan carré de 18 mètres de côté. La motte est chemisée de pierre. On accède à la basse-cour par un châtelet d'entrée quadrangulaire. Adossée au mur de la chemise, face au donjon, se dresse l'aula comtale. De forme légèrement trapézoïdale. La cave qui est le seul vestige était accessible par un escalier en pierre. La motte qui mesure alors 70 mètres de diamètre est flanquée à l'ouest d'une basse-cour dont la plateforme, à peu près circulaire, mesure 60 mètres de diamètre. En 1393, on sait qu'une pompe à eau est installée dans la cuisine castrale, lors des remaniements. Le beffroi de Douai, construit en 1380, c’est le monument le plus emblématique de la ville de Douai, un repère urbain immuable depuis des générations. Avec son carillon et son architecture typique (à la base en grès des Flandres mais renforcée lors d’une restauration au XIXe siècle), il est inscrit aux M.H. depuis 1862 (et sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2005). Quoi de mieux pour voir les choses de haut.
Les habitants
Seigneurs locaux"
Divers
Trois châteaux ; porte d'arras grav_3. porte de Valenciennes grav-4 Château Teuffet grav-5
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