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Code Département		Photo
Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire	A Coux et Bigaroque les manoir et château celui de Bigaroque, de Cazenac Manoir les Bretoux, la Carrière, les Constancies, de Salibourne et le Suquet Coux et Bigaroque a appartenu aux évêques de Bordeaux qui a mis le poste de péage sur la rivière. La guerre de cent ans de mettre un terme à cette acivity rentables ainsi que le château qui, une fois vis à vis du village et la vallée. Le château a été reconstruit, mais à nouveau détruit en 1624. À la fin du XVIIIe siècle, la commune s'appelait Le Coux avant de devenir Coux au début du XIXe siècle. Les communes de Coux et de Bigaroque ont été réunies en une seule, Coux-et-Bigaroque, par ordonnance du 23 septembre 1825. les BRETOUX, construit au XIXe siècle pour la famille Lasserre de Monzie, Henri de Lasserrey vécut souvent et y mourut en1900, le domaine passa au XXe siècle à la famille d'Abadie-d'Arraut. MONSEC, la construction commence dans la première moitié du XIVe siècle, sur des bases plus anciennes. Au château de Monsec se sont succédés les familles Laroque vers 1300, les Suquet de la Treilhe vers 1400. En 1560 le propriétaire est Montlouys. Une des filles, Marguerite de Foucaut, épouse François de Feletz. Une descendante de cette union, Anne de Feletz, devient seule héritière du château de Monsec et de ses dépendances en 1610. Elle épouse François de Clermont issu d’une famille quercynoise et depuis cette date, le domaine est toujours resté par héritage et mariages dans la même famille. En 1793, un des fils du châtelain, Jean-Baptiste de Touchebœuf-Lafage deviendra le premier maire de Mouzens à l’âge de 20 ans et le restera pendant 60 ans jusqu’à son décès en 1854. c'est dans le château de Monsec que Léon Poirier tourna en 1943 son film Jeannou.
Architecture	COUX-BIGAROQUE, au XVIIe siècle, sur le territoire de l'actuelle commune se comptaient une vingtaine de demeures nobles, résidences souvent secondaires, de seigneurs de la région. La multiplicité et la variété des sites permettaient une implantation de défense, de surveillance et d’agrément. Certaines de ces demeures existent toujours : Salibourne, le Suquet, la Pomarède, la Carrière haute, les Bretoux, Lamillal, Cazenac, la Viguerie, les Constancies… Les BRETOUX se compose d'un corps de logis rectangulaire à deux niveaux, pavillon centrals saillants plein cintre et pavillon sur les extrémités rectangulaires et saillant accolé d'une tour ronde toit en poivrière, l'ensemble est couvert de toit en croupe et à l'impérial en ardoise avec lucarnes. CAZENAC de plan rectangulaire à deux niveaux et série de lucarnes sur comble en croupe flanqué de tour deux rondes à Mâchicoulis dont une crénelée et pavillon carré à droite CARRIERE Quadrangulaire à deux niveaux avec tour carrées sur angles. MONSEC, le château se compose d'un châtelet d'entrée datant de la première moitié du XVIIe siècle. Il est prolongé au nord-nord-ouest par un logis Renaissance, accosté d'une tour du XIXe siècle au sud-est, et terminé au nord par un pavillon. Celui-ci présente une échauguette dans son angle nord-ouest. Du pavillon part vers l'est une aile dont les bâtiments remontent du XIVe au XVIe siècle. Deux tourelles ont été ajoutées au XIXe siècle, l'une au nord-ouest et l'autre au nord-est de cette aile. Celle-ci et le logis principal forment un angle ouvert en forme de V.
Les habitants	Famille Lasserre de Monzie Famille Laroque "
Divers	A Coux Bigaroque le château de Carrière grav-1, de Cazenac de 2 à 4, de Bretoux grav 5, de Monsec gravde 6 à 8 et de Brunie grav 9.
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