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Informations
Code Département
Photo
Canton
Commune
Nom du Château
Type Edifice
Période origine
Histoire
BOURINES, le fief appartenait à la famille Séveyrac au XIIIe siècle, en 1289 le baron de Séverac cède les Bourines aux moines de l'ordre militaire et religieux placés sous l'autorité des Doms d'Aubrac, les prieurs de la famille d'Estaing peu d'années après prise de possession, propriété du cardinal Georges d'Armagnac, de l'abbaye d'Aubrac. A la fin du XVe siècle, la tour de défense Nord-Ouest est aménagée. Elle porte les armes de la famille d'Estaing. En 1547, le portail d'entrée est modifié possède le nom gravé du cardinal évêque de Rodez, Georges d'Armagnac,. En 1562, le château est gardé par le chevalier de Montpeyroux. En 1565, attaque du château pris par 300 soldats sur l'ordre du prieur de Caudelz. En 1574, durant les guerres de religion, les huguenots assiègent le site. En 1791, les révolutionnaires forcent la vente des Bourines qui appartenait aux moines d'Aubrac, à Antoine Marcillac et Louis Gineste. En 1794, le site et les terres appartiennent à une association composées des familles : Granier, Dupin, Mourgues. En 1936, la famille Aubaret habite le château. A la fin du XXe siècle, le site est la possession de la famille Delmas. En 1981, le château a servi de cadre au tournage du film Malevil de Christian de Chalonge,et en 2003, Gérard Krawczyk y tournait Fanfan la Tulipe.
Architecture
Bourines architecture différente est certainement causé par des aménagements sur plusieurs siècles. D'ailleurs, les différences de pierres sont évidentes. Une imposante tour carrée sur la droite, peut être servait elle à la défense de la porte actuelle, ne comporte aucune archère ni ouverture de tir. A gauche de la tour, le mur est soutenu par quatre contreforts à larmier. un d'entre eux bouche partiellement une ouverture Romane, Au dessus, plusieurs constructions en encorbellement. Au bout du long mur parsemé de latrines haut perchées, une tour ronde est visible. Elle possède quelques éléments médiévaux. Au sommet, un chemin de ronde couvert pour le guet et la défense, les classiques et efficaces mâchicoulis. Des fenêtres de confort prouvant que des salles d'habitation existaient. A mi-hauteur, une pierre sculptée, une tour médiévale, au rez-de-chaussée, une porte, habituel pour une tour de défense au Moyen-Age. Deux tours médiévales à la toiture très différente, une autre tour ronde plus haute à toiture élevée, avec archères du XIIe siècle. Au bout de la longue façade une tour ronde identique à la première avec quelques détails différents: Au centre du quadrilatère, un puissant donjon. La grange ou ferme fortifiée des Bourines, terme toujours employé en Rouergue au Moyen-Age, pour désigner ces possessions rurales dépendant des monastères, devait consister presque uniquement dans l'énorme donjon aujourd'hui encore la partie principale et la plus remarquable du château, celle qui, écrasant les autres constructions, donne à l'ensemble tout son caractère et révèle sa première et véritable destination.
Les habitants
Famille Séveyrac Famille Aubaret "
Divers
Forteresse de Bourines
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